Songe à la douceur de Beauvais : ISSN 2607-0006
Après un premier abandon des petites reines qui avait connu me semble-t-il un joli succès, j'ai voulu tenter de lire un autre roman de cet auteur, qui est très médiatisé, avec Songe à la douceur. Malheureusement, j'ai aussi abandonné ce deuxième roman. Pourtant, l'écoute permet généralement de rendre plus facile la découverte de texte car on se laisse entraîner par une voix. Ce n'est d'ailleurs pas la voix très agréable de Rachel Arditi, qui m'a dérangée, mais l'histoire aussi bien que le style m'ont d'emblée agacée. J'ai finalement abandonné nos anti-héros...
Eugène traine son mal être jusqu'à la banlieue où vit Tatiana. Elle tombe aussitôt amoureuse. Mais lorsque le roman débute, on apprend qu'ils se retrouvent après quelques années de séparation et Eugène semble à nouveau sous le charme de Tatiana. Cette histoire d'amour est inspirée d'Eugène Onéguine de Pouchkine et de Taïchkovski. L'hypotexte est écrit en vers mais celui de C. Beauvais est en vers libres. J'ai trouvé l'humour du texte appuyé, à l'instar d'un autre auteur J. M. Erre dont j'ai abandonné la lecture pour les mêmes raisons : un comique trop visible et surrabondant. Les qualités d'écriture sont noyées dans des remarques caricaturales :
Voici toutefois le billet d'un autre auditrice qui a aimé écouter cette histoire et elle se pose à raison la question de l'humour : parenthèse de caractère.
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Songe à la douceur, Beauvais, 4h40, écoutez un extrait ici.